La Gynarchie dans l'Histoire

Catégories : Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 7 ans

Le Féminin Sacré a été diabolisé et considéré comme impur depuis deux mille ans par la religion chrétienne, pourtant le concept de la Femme comme « Source de Vie » était fondamental dans les traditions anciennes.

La philosophie de la religion chrétienne a occulté cette puissance créatrice au profit de l'homme en attribuant au concept de Dieu une image masculine, nous en subissons encore aujourd'hui les conséquences qui se reflètent dans les inégalités hommes/Femmes, que se soit dans les domaines professionnels, sociaux ou religieux.

Mes aspirations de plus en plus conscientes, me poussent vers un idéal qui ressemblerait à une société Matriarcale où la Femme dans toute sa splendeur et sa sagesse, dominerait le monde.

Je veux être ce chevalier à la recherche du Graal qui symbolise la Déesse perdue.

Le Féminin Sacré, Déesse aux pouvoirs procréateurs représentait une menace pour l'église naissante à prédominance masculine, machiste et misogyne, elle a donc inventé sous le règne de l'empereur romain Constantin, le péché d'Eve qui aurait provoqué la chute de l'homme afin de mieux la rabaisser. La Femme est devenue un sous-produit de l'homme et de sa côte d'Adam, alors qu'en réalité, il est né de ses entrailles.

Nous vivons malheureusement encore aujourd'hui dans nos conditionnements cette injustice...

Des découvertes archéologiques faites dans le Turkménistan, confirment l'existence il y a 5000 ans d'une civilisation très avancée et très raffinée qui attachait une grande importance à la beauté et où les Femmes jouissaient d'un grand prestige. La mise à jour de statuettes féminines confirme qu'il s'agissait d'une société fondée sur le Matriarcat.

"La Déesse"

La Déesse symbolise l'être profond, le pouvoir libérateur, l'Univers est modelé comme le corps d'une Femme, il est sacré, mais la Déesse-Femme n'est pas restreinte à n'être qu'un corps, elle éveille l'esprit, le mental et les émotions, on peut aussi connaître la puissance de sa colère tout comme la f o r c e de son amour.

La découverte des anciennes civilisations matriarcales, redonne un sens profond à nos vies tout en révélant les erreurs du patriarcat.

La Déesse archaïque des chasseurs de l'âge de pierre et des semeuses de graines, sous l'inspiration de qui les animaux ont été domestiqués, les herbes médicinales trouvées, à l'image de laquelle les premières ?uvres d'art ont été créées, pour qui les mégalithes ont été érigés, celle qui a inspiré la musique et la poésie, est à nouveau reconnue dans le monde d'aujourd'hui.

Des anthropologues ont démontré, que dans les premières étapes du développement de l'humanité lorsque les hommes ne connaissaient pas encore le mystère de la fécondité humaine ni la relation entre le coït et l'e n f a n t ement, on vénérait la Femme comme source de vie. La participation des hommes à la reproduction n'étant pas encore connue, on croyait que seules les femmes pouvaient se reproduire.

Dans ce cas la mère devait être considérée comme l'unique chef de famille et la seule responsable de la génération future. La descendance familiale s'effectuait selon la lignée des femmes, c'est-à-dire de mère en fille. Dans de telles sociétés, les noms, les titres, les biens et les droits territoriaux se transmettaient par la lignée des femmes, afin de les conserver à l'intérieur du clan. Les origines des croyances et des rituels religieux ainsi que leurs liens avec le système matrilinéaire constituent le second ensemble de preuves. Les notions religieuses des tous premiers homo sapiens se sont développées à partir de cette quête de l'origine première de la vie.

Dans les sociétés du paléolithique supérieur, où la mère était considérée comme la seule et l'unique parente, où le culte des ancêtres constituait apparemment la base des rites sacrés et où la généalogie ne tenait compte que de la lignée des femme, l'image que le clan se faisait du créateur (créatrice) de la vie humaine était celle de la toute première Femme qui fut déifiée comme l'Ancêtre Divine. Les nombreuses statuettes de femmes, qui ont été très souvent appelées Vénus nous en fournissent d'autres preuves tangibles.

La totalité de l'Europe néolithique possédait un ensemble de concept religieux remarquablement homogène, centré autour du personnage de la « Déesse Mère » aux si nombreuses appellations, et qu'on connaissait aussi en Syrie et en Libye... La grande Déesse était imm o r t elle, immuable et omnipotente, et le concept de père n'était pas encore apparu dans la pensée religieuse.

Nous arrivons à l'invention de l'écriture avec laquelle débute la période historique, à la fois à Sumer dans le sud de l'Iraq et en Egypte, 3000 ans avant notre ère. A l'époque historique, "la Déesse Mère" est vénérée dans tout le Proche et Moyen Orient. Malgré les nombreuses transformation qui ont affecté la religion de "la Divinité Femme" au cours des siècles, son culte subsistera jusqu'aux périodes classiques gréco-romaines. Il ne disparaîtra complètement qu'en l'an 500 de notre ère, date à laquelle les empereurs chrétiens de Rome et de Byzance fermèrent les derniers temples de "la Déesse. Son" culte perdura tout de même encore longtemps de façon souterraine.

Ici se sont les femmes qui détiennent le pouvoir, elles ne sont plus seulement des génitrices, mais les principales productrices de la nourriture. En réalisant qu'il était possible de cultiver les terres, tout autant que d'en cueillir les fruits, les femmes ont donné une valeur à la terre dont elles sont devenues détentrices. C'est ainsi qu'elles acquirent un certain prestige et un pouvoir économique et social...

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